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Unicef - La situation des enfants dans le monde 2017 : Les enfants dans un mo... - 0 views

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    Malgré la présence en ligne massive des enfants - un internaute sur trois dans le monde est un enfant - trop peu de mesures sont prises pour les protéger des dangers du monde numérique et pour augmenter leur accès à un contenu en ligne sûr, selon un rapport du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) publié lundi. Le rapport intitulé 'La situation des enfants dans le monde en 2017 : les enfants dans un monde numérique' présente le premier regard de l'UNICEF sur les différentes façons dont la technologie numérique affecte la vie des enfants, en identifiant les dangers et les opportunités. Il affirme que les gouvernements et le secteur privé n'ont pas suivi le rythme du changement, exposant les enfants à de nouveaux risques et laissant de côté des millions d'enfants défavorisés. « Pour le meilleur et pour le pire, la technologie numérique est maintenant un fait irréversible de nos vies », a déclaré le Directeur exécutif de l'UNICEF, Anthony Lake. « Dans un monde numérique, notre double défi est de savoir comment atténuer les inconvénients tout en maximisant les avantages d'Internet pour chaque enfant ». Le rapport explore les avantages que la technologie numérique peut offrir aux enfants les plus défavorisés, y compris ceux qui grandissent dans la pauvreté ou qui sont affectés par des crises humanitaires. Cela inclut augmenter leur accès à l'information, renforcer leurs compétences numériques pour le monde du travail, et leur donner une plate-forme pour se connecter et s'exprimer. Mais environ un tiers des jeunes dans le monde - 346 millions - ne sont pas en ligne, ce qui exacerbe les inégalités et réduit la capacité des enfants à participer à une économie de plus en plus numérique. Le rapport examine également comment Internet accroît la vulnérabilité des enfants aux risques, y compris l'utilisation abusive de leurs renseignements personnels, l'accès à du contenu préjudiciable et la cyberintimidat
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Conseil national du numérique - Rapport - Identités numériques : Clefs de voû... - 0 views

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    Le rapport « Identités numériques, clés de voûte de la citoyenneté numérique » fait suite à la saisine de Cédric O en juillet 2019 sur la mise en œuvre d'une identité numérique publique, des dispositifs FranceConnect et de la carte nationale d'identité électronique. Le rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) décrit précisément, via 35 recommandations actionnables, les conditions d'une confiance dans les outils de l'identité numérique et l'importance de l'intérêt du citoyen, afin d'enrichir les prochains travaux du Gouvernement sur les identités numériques. Le groupe de travail « Identités numériques » composé de Karine Dognin-Sauze et Mohammed Boumediane (membres pilotes), Gilles Babinet, Olivier Clatz, Gaël Duval et Jean-Michel Mis a conduit ses travaux de janvier 2019 à mars 2020. Dans une logique de co-construction avec les citoyens, les territoires et les experts dans plusieurs villes de France (Montpellier, Lyon, Paris, Douai), le groupe de travail a organisé des ateliers de prospective avec les citoyens, des table-rondes d'experts, des auditions et a poursuivi ses recherches jusqu'en Estonie pour analyser un modèle de dématérialisation souvent vanté comme le plus avancé au monde. Le CNNum tient à remercier chaleureusement les plus de 200 contributeurs qui ont ainsi partagé leurs retours d'expérience et leurs visions des identités numériques : citoyens, professionnels de la cybersécurité ou de la banque, institutions publiques, entreprises et startups, société civile, acteurs de la médiation numérique, chercheurs, etc. Le rapport décrit comment les identités numériques peuvent être fondatrices de la citoyenneté numérique et être un vecteur de confiance entre l'État, les citoyens et un écosystème d'acteurs publics comme privés. Il insiste sur l'importance de créer un environnement de confiance, basé sur une gouvernance partagée, à partir d'instances jouant le
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Conseil national du numérique - Dossier de presse - Identités numériques : Cl... - 0 views

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    Le rapport « Identités numériques, clés de voûte de la citoyenneté numérique » fait suite à la saisine de Cédric O en juillet 2019 sur la mise en œuvre d'une identité numérique publique, des dispositifs FranceConnect et de la carte nationale d'identité électronique. Le rapport du Conseil National du Numérique (CNNum) décrit précisément, via 35 recommandations actionnables, les conditions d'une confiance dans les outils de l'identité numérique et l'importance de l'intérêt du citoyen, afin d'enrichir les prochains travaux du Gouvernement sur les identités numériques. Le groupe de travail « Identités numériques » composé de Karine Dognin-Sauze et Mohammed Boumediane (membres pilotes), Gilles Babinet, Olivier Clatz, Gaël Duval et Jean-Michel Mis a conduit ses travaux de janvier 2019 à mars 2020. Dans une logique de co-construction avec les citoyens, les territoires et les experts dans plusieurs villes de France (Montpellier, Lyon, Paris, Douai), le groupe de travail a organisé des ateliers de prospective avec les citoyens, des table-rondes d'experts, des auditions et a poursuivi ses recherches jusqu'en Estonie pour analyser un modèle de dématérialisation souvent vanté comme le plus avancé au monde. Le CNNum tient à remercier chaleureusement les plus de 200 contributeurs qui ont ainsi partagé leurs retours d'expérience et leurs visions des identités numériques : citoyens, professionnels de la cybersécurité ou de la banque, institutions publiques, entreprises et startups, société civile, acteurs de la médiation numérique, chercheurs, etc. Le rapport décrit comment les identités numériques peuvent être fondatrices de la citoyenneté numérique et être un vecteur de confiance entre l'État, les citoyens et un écosystème d'acteurs publics comme privés. Il insiste sur l'importance de créer un environnement de confiance, basé sur une gouvernance partagée, à partir d'instances jouant le
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L'intelligence artificielle, un rêve de puissances (II) - Chronik - 1 views

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    "« L'intelligence artificielle, un rêve de puissances », tel est le sujet de l'intervention du chercheur Charles Thibout, lors de la récente conférence organisée à l'IRIS intitulée : « GAFA, IA, Big Data : quels enjeux géopolitiques? ». Chronik.fr publie ici la seconde partie de son analyse. Au préalable, rappelons tout de suite que l'étude du rôle de l'IA dans les relations internationales est devenue signifiante parce que les « grands » de ce monde estiment qu'elle peut affecter profondément et durablement l'ordre mondial tel que nous le connaissons. Quand Vladimir Poutine déclare que celui qui détiendra le leadership en IA se rendra maître du monde, il nous renseigne à tout le moins sur un état d'esprit que partagent les dirigeants des principales puissances. Et l'on sait qu'en matière de politique étrangère comme ailleurs, le processus décisionnel mêle toujours le rationnel aux représentations imaginaires. Les puissances dont nous parlons sont lancées aujourd'hui dans une course à l'IA, même si deux pays seulement semblent capables d'occuper une position prééminente pour le moment : vous l'aurez compris, il s'agit des États-Unis et de la Chine. L'intérêt porté à l'IA par les Américains est assez ancien - on pourrait sans doute le faire remonter aux origines mêmes du terme, dans les années 1950, voire au-delà. Mais c'est en particulier depuis 2014, et la formulation de la Third Offset Strategy qu'ils ont officialisé la prise en compte de l'IA dans le développement de leur puissance militaire. Il s'agit, pour le dire vite, d'une stratégie de prise d'avantage technologique, en particulier vis-à-vis des Chinois et des Russes, dans le domaine de la robotique, des nanotechnologies ou encore du Big Data et du cloud computing, à laquelle les entreprises innovantes du secteur privé sont censées être étroitement associées. C'est par exemple dans le droit fil de cette
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France Stratégie - Covid-19 : pour un "après" soutenable : 7 questions pour p... - 0 views

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    Nous bougions beaucoup, nous ne cessions d'aller et venir, nous étions souvent stressés. Nous nous arrêtions le samedi et le dimanche mais pour reprendre de plus belle. Nous n'hésitions pas à provoquer d'immenses bouchons : le matin pour aller au travail, le soir quand on revenait, le samedi lorsque nous allions faire nos courses pour toute la semaine, le dimanche soir quand nous revenions à la maison, et même lorsque nous décidions de nous évader, encore des bouchons pendant des heures dans nos belles montagnes de Savoie. On savait que la pollution était là, qu'on n'avait plus la possibilité de voir l La pandémie de Covid-19 frappe aujourd'hui le monde entier et la France n'y échappe pas. Nous ne savons pas encore, à l'heure actuelle, ni à quelle vitesse nous sortirons de la crise sanitaire, ni comment l'économie redémarrera. Mais nous savons déjà que ce choc va mettre rudement à l'épreuve nos sociétés, nos institutions, nos politiques publiques. Comment devront-elles y faire face et évoluer pour en tirer les leçons Il est bien sûr trop tôt pour le savoir. Mais il n'est pas trop tôt pour commencer à y réfléchir. France Stratégie a conçu, à la fin de l'année dernière, un cycle de séminaires autour du thème des « soutenabilités ». L'objectif était de réfléchir aux manières d'élaborer et de mettre en œuvre des politiques publiques qui soient à la hauteur des exigences extrêmement fortes de lutte contre le changement climatique, de combat contre les inégalités sociales ou territoriales, de renouvellement de l'implication et de l'impact des citoyens dans l'élaboration des politiques publiques, etc. Ces exigences ont un point commun : la volonté de laisser aux générations futures un monde « soutenable ». La crise ne les pas effacées, loin de là ; elle y ajoutera de nouveaux besoins et de nouvelles attentes. L'équipe qui porte le projet « Soutenabilités » a identifié sept domaines c
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Telos - Campagne présidentielle: l'imaginaire fantasmé de la mondialisation - 0 views

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    "La construction imaginaire entre le monde d'hier et monde de demain est la matrice organisant le débat de la présidentielle. Si l'on se cantonne à sa dimension culturelle, elle crée une série d'asymétries entre les adeptes d'un univers à préserver, en gros, celui de la culture et de l'art de vivre à la française, d'une part ; et les individus nomades qui, comme d'une évidence, s'inscrivent dans la globalisation et la transition numérique, d'autre part. Le partage des eaux s'opère entre la figure de l'homme enraciné, attaché à son histoire, sa langue et son ancrage géographique, et l'homme aux semelles de vent, électron libre du libéralisme mondialisé, être fluide modulable à toutes les cultures et toutes les situations. Ce découpage se veut efficace pour penser le monde contemporain et pour en dénoncer les orages présents et à venir et les turpitudes. Il s'inspire des réflexions du sociologue Zygmunt Bauman sur la société liquide, méditation sur une société consumériste sans repères. Mais, à bien des égards, la dualité local/global pose un écran de fumée. Les individus concrets peuplant les pays développés ne vivent pas ainsi, et fonctionnent dans un modèle de représentation infiniment plus complexe. Tous, en particulier chez les nouvelles générations, baignent dans la mondialisation reflétée par les industries culturelle et les systèmes d'information - 95% des 18-24 ans possèdent un smartphone en France. Et, parallèlement, chacun est le produit d'une histoire personnelle et culturelle géographiquement située."
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Observatoire des Libertés et du Numérique - Chiffrement, sécurité et libertés - 0 views

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    Depuis quelques temps, certaines volontés politiques s'affichent afin de remettre en cause les protections techniques et juridiques garanties par les méthodes de chiffrement. Pour s'opposer à ces propositions dangereuses pour, l'Observatoire des Libertés et du Numérique publie son positionnement argumentaire concernant la défense du droit au chiffrement, outil indispensable à la protection des libertés à l'ère numérique. Les capacités (techniques et légales) de surveillance des États à l'ère numérique sont aujourd'hui telles que le droit fondamental à la vie privée, garant de la liberté d'expression, d'opinion, d'information, dans une société démocratique, a été profondément remis en cause ces dernières années, en France et dans le monde. Dans ces conditions, la capacité de chiffrer ses communications numériques et ses données informatiques est une condition indispensable à la préservation des droits et libertés fondamentales, et l'un des derniers remparts, individuels et collectifs, aux intrusions arbitraires et illégales de nombreux acteurs, étatiques, privés, ou criminels. Le chiffrement va bien au-delà d'une question de droits de l'Homme : alors que le numérique a investi l'ensemble des champs d'activité humains, l'affaiblir, quelle que soit la technique utilisée, reviendrait à fragiliser considérablement l'économie, mais aussi la sécurité collective. Répétons-le, il n'existe pas de technique d'affaiblissement systémique du chiffrement qui ne permettrait de viser que les activités criminelles : l'ensemble des citoyens seraient alors aussi potentiellement visés. Il n'existe pas non plus de technique d'affaiblissement du chiffrement qui ne profiterait qu'à des acteurs « bien intentionnés ». Si une faille est créée pour un État (police, justice, service de renseignements…), elle sera alors disponible pour tous les autres acteurs (Autres États, organisations criminelle
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France Stratégie - Anticiper les impacts économiques et sociaux de l'intellig... - 0 views

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    "L'intelligence artificielle (IA) est un sujet « chaud » : elle bénéficie d'une dynamique, d'un momentum, qui cristallisent les attentions et les énergies. Il faut donc agir maintenant pour en tirer parti. Cette attention récente est fondée sur les progrès spectaculaires obtenus par la recherche en la matière. Il en résulte un accroissement brusque et imprévisible des tâches potentiellement automatisables qui amène à s'interroger sur les activités humaines. On passe d'un scénario de polarisation, dans lequel les emplois très manuels, d'une part, et les emplois basés sur les talents, d'autre part, semblaient préservés de l'automatisation, à un scénario de transformation qui touche potentiellement beaucoup plus de monde. C'est pourquoi la thématique de la disparition d'un grand nombre d'emplois tend à monopoliser le débat et à occulter tout raisonnement. Le but de ce rapport est de sortir d'une vision simpliste (compréhension « magique » de l'IA, focalisation sur la disparition massive d'emplois, idée que l'IA nous tombe dessus quoi que l'on fasse induisant une passivité devant le choc annoncé). Une telle analyse a jusqu'à présent empêché de mettre en avant les perspectives positives réelles (gains de productivité dans les entreprises, amélioration de la qualité des services) comme les alertes essentielles : risque de perte d'indépendance économique, absence de gouvernance des transformations, sous-estimation des impacts sur la vie quotidienne, en particulier dans le monde du travail, et nécessaire inventivité dans les accompagnements, en particulier par l'appareil de formation." Rapport en téléchargement
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Fondation Concorde - Le numérique : une révolution pour notre société, notre ... - 0 views

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    "Les évolutions technologiques récentes nous plongent dans l'incertitude, quelles vont être les conséquences de la transformation numérique ? A n'en pas douter, notre manière de vivre, de penser et d'agir : tout sera bouleversé. Le numérique est déjà présent partout aujourd'hui, profondément inscrit dans nos sociétés son utilisation devrait s'accentuer de manière exponentielle dans les années à venir. La tentation est grande, une fois découvert ce Nouveau Monde, de jouer les apprentis Christophe Colomb sans prendre le temps politique et philosophique d'en apprécier le sens. En effet, le numérique bouleverse tous les segments de l'économie mais également notre manière de vivre, de penser et d'agir. C'est dans cet esprit que la Fondation Concorde et les Vendredis de la Colline se sont associés le temps d'un cycle de réflexion. Nous avons recueilli le précieux témoignage d'intervenants aux profils et compétences divers afin de comprendre les dynamiques qu'entrainent le numérique dans notre pays. Divisée en 3 axes, cette note a pour objectif de formuler des pistes de proposition permettant d'accompagner cette transformation numérique pour les acteurs économiques de notre pays : l'Etat, les entreprises et les citoyens. "
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Sénat - Commission des Aff. Européennes - Rapport d'information sur la straté... - 1 views

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    L'intelligence artificielle (IA) est aujourd'hui au coeur de toutes les attentions. Il n'est pas un jour sans que ne paraisse un article ou une étude sur ses bienfaits et ses méfaits supposés. Fruit de nombreuses activités de recherche, elle progresse chaque jour. Elle est aussi au coeur de la compétition économique mondiale. Les chercheurs spécialistes en intelligence artificielle, bien que de plus en plus nombreux, sont devenus une denrée rare et prisée. Les grandes entreprises, issues de secteurs historiques ou de la nouvelle économie, investissent de plus en plus dans ce domaine. Il y a une raison à cela : l'intelligence artificielle est considérée comme la principale innovation d'une nouvelle révolution industrielle, celle du travail de l'homme avec des machines dites intelligentes. Or, l'histoire nous a appris que les révolutions industrielles ont, chacune, bouleversé non seulement l'activité économique et le monde du travail mais aussi les sociétés et leurs équilibres. Les deux grandes puissances mondiales, les États-Unis et la Chine, se sont lancées dans une compétition pour la domination technologique mondiale et y investissent des sommes colossales. En réponse, l'Union européenne a agi tout au long de l'année 2018 afin de se maintenir dans la course. En France, le rapport de M. Cédric Villani, député, puis l'adoption du plan « AI for humanity » ont placé notre pays en pointe de l'action en Europe. L'objectif est ambitieux : faire de l'Union européenne un leader mondial de l'intelligence artificielle. La commission des affaires européennes du Sénat a créé dès le 19 octobre 2017 un groupe de travail pour assurer le suivi de ce sujet essentiel. Ce rapport présente le fruit de ses réflexions, pose les enjeux que le développement de l'intelligence artificielle implique et analyse les propositions de la Commission européenne en ce domaine. Il préfigure également une proposition de résolution visant à favoriser
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CNIL - Communiqué - Comment permettre à l'Homme de garder la main ? Rapport s... - 0 views

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    "L'irruption dans nos vies quotidiennes des algorithmes et de l'intelligence artificielle fait l'objet d'une attention publique soutenue, depuis que quelques cas emblématiques (APB, rôle des réseaux sociaux dans les présidentielles américaines etc.) ont marqué les citoyens, ici en France ou à l'étranger. A l'heure où se construisent les positions française et européenne sur l'intelligence artificielle, ce rapport a pour but de construire un panorama des enjeux éthiques qu'ils soulèvent. Dans notre monde de plus en plus numérique, les algorithmes et l'intelligence artificielle sont partout : pour simuler l'évolution de la propagation de la grippe en hiver, pour recommander des livres à des clients, pour suggérer aux forces de police des zones où patrouiller en priorité, pour piloter de façon autonome des automobiles, pour élaborer automatiquement un diagnostic médical personnalisé, pour personnaliser un fil d'activité sur les réseaux sociaux etc. Des tâches complexes, parfois critiques, sont ainsi déléguées à des systèmes de plus en plus autonomes à mesure que les techniques d'apprentissage propres à l'intelligence artificielle se développent. Ces usages multiples et croissants, indissociables des masses de données inédites à disposition dans tous les secteurs, soulèvent de nombreuses questions. Chargée par loi pour une République numérique de mener une réflexion sur les questions éthiques et de société posées par les nouvelles technologies, la CNIL s'est naturellement tournée vers le thème des algorithmes à l'heure de l'intelligence artificielle. Le rapport s'appuie sur les résultats d'un débat public ouvert et décentralisé que la CNIL a animé de janvier à octobre 2017 : 3 000 personnes ont participé à 45 manifestations qui se sont tenues à l'initiative de 60 partenaires en France (Ax les Termes, Bordeaux, Caen, Lille, Lyon, Marseille, Paris, Toulouse) et à l'étran
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The Conversation - Comment la blockchain va changer la gouvernance des entreprises - 0 views

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    "Le Bitcoin a réussi le tour de force de s'imposer comme le premier réseau de cryptomonnaie totalement décentralisé auprès du grand public. Il est utilisé par des millions de personnes à travers le monde et continue de séduire de plus en plus d'utilisateurs et d'institutions publiques et privées. Le Bitcoin apparaît ainsi comme un véritable « proof-of-concept » d'un réseau de change totalement décentralisé et sans intermédiaires en opposition au marché financier traditionnel. Il repose sur la technologie de la blockchain qui permet de stocker et de transmettre les informations de manière transparente, sécurisée et sans validation d'un organe central de contrôle. Plutôt que de confier à un tiers de confiance la validation des transactions, elles sont certifiées par un réseau peer-to-peer d'ordinateurs faisant office de serveur qui va exécuter le protocole de la blockchain et ainsi valider les informations par consensus. Aussi, le potentiel de cette technologie dépasse largement le cadre des transactions financières et commence à investir d'autres domaines comme la santé, le marché de l'art ou l'énergie. Un des aspects importants, mais encore peu discuté de cette technologie, réside dans les changements possibles en matière de gouvernance d'entreprise. En proposant une nouvelle façon d'appréhender les contrats et en contournant les dilemmes traditionnels de la théorie de l'agence, à savoir le dilemme agent-principal et les coûts d'agence (Jensen et Meckling, 1975 ; Williamson, 1993), la blockchain pourrait bien signer la fin des structures centralisées et hiérarchiques traditionnelles avec l'émergence de nouvelles formes d'organisations."
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We Are Social France - Les utilisateurs de médias sociaux franchissent le cap... - 0 views

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    "Notre nouveau rapport révèle que les taux de croissance des médias sociaux s'accélèrent. Plus de 4 milliards de personnes dans le monde utilisent désormais les réseaux sociaux chaque mois, et près de 2 millions de nouveaux utilisateurs en moyenne les rejoignent chaque jour. Les utilisateurs dans le monde y consacrent également plus de temps, avec une moyenne d'environ 15 % du temps passé de leur vie éveillée sur les plateformes sociales. Ces chiffres ne sont pas les seuls impressionnants. Le nouveau Digital report mis à jour (octobre 2020) présentant un état des lieux mondial du Digital en 2020, produit en partenariat avec Hootsuite et We Are Social, montre que les technologies connectées continuent de jouer un rôle de plus en plus important dans les divers aspects de la vie quotidienne de la population."
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CNIL - Concertation - Comment permettre à l'Homme de garder la main ? Rapport... - 0 views

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    L'irruption dans nos vies quotidiennes des algorithmes et de l'intelligence artificielle fait l'objet d'une attention publique soutenue, depuis que quelques cas emblématiques (APB, rôle des réseaux sociaux dans les présidentielles américaines etc.) ont marqué les citoyens, ici en France ou à l'étranger. A l'heure où se construisent les positions française et européenne sur l'intelligence artificielle, ce rapport a pour but de construire un panorama des enjeux éthiques qu'ils soulèvent. Dans notre monde de plus en plus numérique, les algorithmes et l'intelligence artificielle sont partout : pour simuler l'évolution de la propagation de la grippe en hiver, pour recommander des livres à des clients, pour suggérer aux forces de police des zones où patrouiller en priorité, pour piloter de façon autonome des automobiles, pour élaborer automatiquement un diagnostic médical personnalisé, pour personnaliser un fil d'activité sur les réseaux sociaux etc. Des tâches complexes, parfois critiques, sont ainsi déléguées à des systèmes de plus en plus autonomes à mesure que les techniques d'apprentissage propres à l'intelligence artificielle se développent. Ces usages multiples et croissants, indissociables des masses de données inédites à disposition dans tous les secteurs, soulèvent de nombreuses questions. Chargée par loi pour une République numérique de mener une réflexion sur les questions éthiques et de société posées par les nouvelles technologies, la CNIL s'est naturellement tournée vers le thème des algorithmes à l'heure de l'intelligence artificielle. Le rapport s'appuie sur les résultats d'un débat public ouvert et décentralisé que la CNIL a animé de janvier à octobre 2017 : 3 000 personnes ont participé à 45 manifestations qui se sont tenues à l'initiative de 60 partenaires en France (Ax les Termes, Bordeaux, Caen, Lille, Lyon, Marseille, Paris, Toulouse) et à l'étrang
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CNIL - Rapport - Comment permettre à l'Homme de garder la main ? Rapport sur ... - 0 views

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    L'irruption dans nos vies quotidiennes des algorithmes et de l'intelligence artificielle fait l'objet d'une attention publique soutenue, depuis que quelques cas emblématiques (APB, rôle des réseaux sociaux dans les présidentielles américaines etc.) ont marqué les citoyens, ici en France ou à l'étranger. A l'heure où se construisent les positions française et européenne sur l'intelligence artificielle, ce rapport a pour but de construire un panorama des enjeux éthiques qu'ils soulèvent. Dans notre monde de plus en plus numérique, les algorithmes et l'intelligence artificielle sont partout : pour simuler l'évolution de la propagation de la grippe en hiver, pour recommander des livres à des clients, pour suggérer aux forces de police des zones où patrouiller en priorité, pour piloter de façon autonome des automobiles, pour élaborer automatiquement un diagnostic médical personnalisé, pour personnaliser un fil d'activité sur les réseaux sociaux etc. Des tâches complexes, parfois critiques, sont ainsi déléguées à des systèmes de plus en plus autonomes à mesure que les techniques d'apprentissage propres à l'intelligence artificielle se développent. Ces usages multiples et croissants, indissociables des masses de données inédites à disposition dans tous les secteurs, soulèvent de nombreuses questions. Chargée par loi pour une République numérique de mener une réflexion sur les questions éthiques et de société posées par les nouvelles technologies, la CNIL s'est naturellement tournée vers le thème des algorithmes à l'heure de l'intelligence artificielle. Le rapport s'appuie sur les résultats d'un débat public ouvert et décentralisé que la CNIL a animé de janvier à octobre 2017 : 3 000 personnes ont participé à 45 manifestations qui se sont tenues à l'initiative de 60 partenaires en France (Ax les Termes, Bordeaux, Caen, Lille, Lyon, Marseille, Paris, Toulouse) et à l'étrang
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IREF - Seule la responsabilité individuelle peut lutter efficacement contre l... - 0 views

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    "Désormais, les orientations politiques de la Commission européenne pour les années 2019-2024 prévoient une « nouvelle législation sur les services numériques », qui « renforcera nos règles en matière de responsabilité et de sécurité pour les plateformes, les services et les produits numériques ». Et Thierry Breton, en charge de ce dossier avec Margrethe Vestager, a déclaré qu'il n'était plus acceptable que « cinq ou six grands acteurs stockent 80 % des données de la planète sans se considérer responsables des usages qui en sont faits ». En France déjà, la proposition de loi Avia voudrait que les Gafa retirent les contenus illicites, notamment haineux, sous 24h voire sous 1 heure pour les contenus pédocriminels et terroristes signalés par la police, sous peine de blocage administratif. Certains vont déjà plus loin encore en demandant, comme Bernard Charlès, directeur général de Dassault Systèmes que « Toutes les données numériques qui traitent de la santé des individus [fassent] partie du patrimoine d'une nation », s'agissant pour lui d'un bien commun devant permettre de délivrer un service de santé efficace et abordable. Et il considère que « Si un opérateur, disons une plateforme étrangère, utilise les infrastructures que sont les routes pour proposer un nouveau service à la population, il ne serait pas anormal qu'il paie un droit d'utilisation à l'Etat et lui restitue les données collectées ». (Le Monde, 18 février 2020)."
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Paris SPI - La voix de l'homme - 0 views

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    "Dès 1993, à l'heure où l'inquiétude écologique commençait à s'imposer dans les débats politiques, Paul Virilio, urbaniste et philosophe, alertait l'opinion sur une forme de pollution moins apparente : la pollution par les technologies. Non pas la pollution sur le monde physique du fait de l'usage des technologies mais « pollution » comme la dégradation des relations de l'humain à sa propre perception de l'environnement. Il percevait les effets sur l'homme de l'usage des technologies, en particulier une altération des capacités d'appréciation de son environnement. La pollution ne porte pas sur les êtres et les choses, mais sur la perception que l'homme en a, et sur l'idée qu'il s'en fait. A travers le titre de son livre de l'époque, « Espace critique », il rappelait que l'usage des technologies correspond à une forme inédite de pollution, car « quelque chose se perd dans l'intervalle qui nécessitait un déplacement pour aller à tel ou tel endroit … tout est à domicile… il n'y a plus de départ et plus d'arrivée ». A la pollution de l'atmosphère s'ajoute la pollution de l'espace lui-même, (« espace » comme autre nom de la relation), une pollution non encore prise en compte. Il la définissait comme « la dégradation de la relation qui vient de l'immédiateté de l'instantanéité des informations » [1]. Un quart de siècle plus tard, où en sommes-nous de cette « pollution » mentale sur le rapport de l'homme à son environnement, à cette altération des capacités cognitives de l'humain par l'effet de ses propres outils technologiques ? Il est plus habituel de parler de « manipulations » ou de « captation de l'attention » que de « pollution » lorsqu'il s'agit de nommer l'influence des technologies sur notre perception du monde - ce dernier terme étant référé aux écosystèmes. Or l'usage de la médiation d'outils technologiques co
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Fondapol Trop libre - Télésanté, espoir du monde rural ? Des objectifs à la c... - 0 views

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    "« La télésanté est perçue comme une solution pertinente sur des territoires où l'offre de soins est déficitaire. Dans le monde rural, la situation est intensifiée. Avant, l'expertise médicale était limitée aux sites de présence du médecin. Ou le client se déplaçait pour rencontrer le médecin, ou bien le médecin rendait visite au patient. La télémédecine rend possible l'expertise médicale en tout lieu. La télésanté est l'élargissement du champ de la santé, faisant une large part au social ». Dans leur ouvrage collectif, Bruno Salgues, directeur d'études à l'institut Mines Télécom, Norbert Paquel, ingénieur économiste spécialiste de la e-santé et leurs contributeurs, sont les témoins d'un tournant majeur pour notre système de santé : un écosystème dont on attend une qualité de service égale, sur l'ensemble des territoires, y compris dans les zones rurales les plus isolées. Mais comment se déclinent réellement l'application des TIC au secteur de la santé ? Les usages sont aussi multiples que les applications et les terminologies utilisées : « télésanté »,« télémédecine »,« télé-expertise », « téléconsultation », etc… L'analyse des auteurs ne se limite pas au seul périmètre français, des réflexions provenant d'exemples canadiens ou africains enrichissent cette étude. La e-santé s'est concrétisée par la multiplication des usages, sur des territoires faisant apparaître des contraintes, s'inscrivant dans différents modèles économiques."
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The Conversation - Les écrans dans la pandémie, ou l'histoire d'une redécouverte - 0 views

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    "Le titre d'un article publié dans le New York Times le 31 mars dernier le dit clairement : « Le coronavirus a mis fin au débat sur le "temps d'écran". Les écrans ont gagné. » Cet article précise toutefois que la reddition inconditionnelle au siège des écrans ne s'appliquerait que pendant la période de crise. Toutes les personnes interrogées sont en effet convaincues qu'après cette période, nos relations avec les écrans ne seront pas irrémédiablement transformées. De plus, certains espèrent que la leçon nous sera utile pour ressentir un plus grand besoin de contact physique avec d'autres êtres humains. Le lecteur ne peut alors réprimer l'espoir tacite que personne ne sera pris d'un tel besoin, qui déclencherait évidemment une terrifiante résurgence de la contagion. Les doutes sur le retour à un « comme avant », même s'il est agrémenté d'une nouvelle sagesse, commencent donc à s'élever. Pourquoi, dans un monde qui se sera considérablement appauvri, devrait-on continuer à m'acheter des voyages coûteux pour que je puisse participer à des colloques internationaux, alors qu'il est désormais évident que je peux intervenir depuis chez moi et à moindres coûts pour les organisateurs ? Mais aussi : pourquoi, après la fin de la période de crise, devrais-je cesser de dîner sur Skype avec ce couple de Londres avec lequel je n'avais jamais eu beaucoup d'occasions de passer du temps auparavant, maintenant que j'ai découvert que c'est non seulement possible, mais aussi facile et agréable ?"
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Revue Silence - La numérisation est-elle le destin de l'école ? - 0 views

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    "Le « plan numérique » lancé en 2014 en France inaugure une numérisation à grande échelle du système d'enseignement. Pour communiquer avec les parents comme avec l'administration, les enseignant·es passent par des systèmes informatiques. Pour apprendre, les enfants sont munis de tablettes. Pour enseigner, le tableau blanc interactif est de mise. Le tout dans un revivifiant bain d'ondes wifi. Faut-il se réjouir d'une telle mutation présentée comme une indispensable modernisation de l'école ? La rejeter en bloc au nom d'une malfaisance généralisée du monde de l'informatique, de l'internet et des écrans ? Les enjeux sont multiples entre la question des ondes liées au wifi et celle du contrôle généralisé lié aux bases de données informatiques. Entre la question de la déshumanisation liée à l'informatisation des manières de communiquer, et celle de l'accoutumance des enfants à une vie sur écran sans capacité d'autonomie en dehors de ceux-ci. Entre la question des enjeux économiques liés aux matériels informatiques et logiciels éducatifs, et celle de l'intérêt pédagogique très contesté de ces innovations techniques, et le poids écologique de ce modèle. Face à l'échec relatif de l'école actuelle, qui décourage de nombreux enfants pourtant habités par une grande curiosité pour le monde et une envie d'apprendre, est-ce l'omniprésence des écrans qui va résoudre le problème ? Ou bien est-ce en se tournant vers des approches et des pédagogies alternatives aux cadres actuels de l'enseignement que nous apprendrons à éveiller l'intérêt, l'intelligence et la créativité des jeunes humains ? Ce n'est pas sans provocation que nous avons titré ce dossier « Vers une école sans écran », tant il nous semble essentiel de faire un pas de côté par rapport à la marche forcée vers une numérisation sans cesse accrue de l'école - et de nos vies dans leur ensemble."
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